#2 Comment serait ma vie sans tabac? EFT - Hypnose

Comment arrêter de fumer avec l’EFT #2

Pourquoi j’utilise l’EFT ?

 Je trouve que l’hypnose est limitée, aussi j’utilise une autre technique : l’EFT.

 

Cet outil permet d’éliminer toutes sortes d’émotions négatives : peur, angoisse, colère, frustration, vide intérieur, culpabilité, honte, etc…

 

L’EFT permet aussi d’éliminer les compulsions : envie de fumer, de grignoter, envies de sucre, etc…

 

 

C’est donc un outil idéal en complément de l’hypnose.

Comment arrêter de fumer avec l'EFT et l'hypnose ?

Arrêter de fumer peut déclencher des émotions qui vous inciteront à reprendre la cigarette. Après tout, pourquoi arrêter de fumer si cela vous déprime ?

 

Néanmoins, il n’est pas normal de se sentir déprimé parce que vous arrêtez de fumer. Cela est dû à l’attachement émotionnel que vous avez construit avec la cigarette en fumant pendant 10, 20, 30 ans …

 

Et s’il était possible de se sentir léger, confiant, calme, libéré et joyeux ? Cela devient beaucoup plus facile.

 

C’est le même principe avec d’autres émotions : frustration, anxiété, énervement, etc…

 

Je vous aide à comprendre quelles émotions déclenchent l’envie de fumer, et à les apaiser jusqu’à ressentir un complet détachement.

 

Anna aime fumer en soirée avec ses amis. A l’idée de ne plus pouvoir fumer dans ces moments, elle ressent d’abord de la frustration parce qu’elle ne peut pas faire ce qu’elle veut ; puis elle ressent de la tristesse, l’impression d’être séparée de ses amis, d’être mise à l’écart ; enfin, elle ressent que sans cigarette, le plaisir ne serait pas « complet » et cela la met en colère. Une fois toutes ces émotions apaisées, elle se sent beaucoup plus calme et envisage joyeusement de simplement ne pas fumer en soirée.

 

 

J’ai mis au point un protocole « Ma vie sans tabac » qui associe hypnose, EFT, PNL et quelques autres outils de la psychologie énergétique. Cette méthode est holistique et globale. 

Autres addictions

Les méthodes appliquées à l’addiction au tabac peuvent être élargies et utilisées pour aider les personnes souffrant d’autres addictions.

J’aide ainsi régulièrement les gens ayant des problèmes de compulsions alimentaires (sucre, chocolat, le plus souvent, mais aussi tout le reste), d’alcoolisme mondain ou sévère, d’addiction aux drogues dures (cocaïne, méth, etc…) ou au cannabis, ou bien d’addictions au sexe et autres.

Le thème de l’addiction est intriguant : pourquoi une personne continue-t-elle compulsivement à se faire du mal (en consommant des produits toxiques et à travers des comportements à risques) ?

La réponse est : parce que cela fait du bien en même temps.

Une personne addictée est donc coincée dans une double contrainte : d’un côté, ne pas consommer est insupportable ; de l’autre, consommer est extrêmement néfaste.

Il y a plusieurs raisons à cela.

On peut voir l’addiction comme une solution à un problème intérieur. On devient addict pour gérer certaines émotions : angoisse, vide intérieur, tristesse, sentiment d’infériorité, peurs, ou encore rage intériorisée, etc… ou bien pour échapper à la réalité et trouver un refuge émotionnel.

 

On peut aussi devenir addicté par la recherche de plaisir, d’un état de conscience plus agréable.

Cerveau reptilien et associations

Le mécanisme de l’addiction est principalement géré par le cerveau reptilien. Cette partie du cerveau est celle qui gère prioritairement le fonctionnement du corps, les mécanismes de survie, l’instinct, et les émotions primaires. Elle est extrêmement réactive aux sensations, odeurs et goûts, d’où le lien avec les substances.

Notre cerveau reptilien ne pense pas de manière rationnelle (c’est le rôle du cortex) et gère des émotions simples, binaires : bon / pas bon ; j’aime / je n’aime pas ; sécure / dangereux ; etc…

Sa priorité absolue est la survie et la préservation de l’individu.

 

Donc, être en sécurité, manger et boire, et maintenir un environnement positif. Même la reproduction (un instinct puissant bien sûr) est secondaire à la survie.

Le cerveau reptilien fonctionne essentiellement sur la base d’associations, ou réflexes conditionnés. Il apprend à associer une situation extérieure avec une réaction intérieure.

C’est le cas du réflexe de Pavlov : si un chien est habitué à entendre une clochette sonner à chaque fois qu’il mange, au bout de quelques jours, le fait d’entendre la clocher sonner le fera saliver, même si on ne lui donne pas de nourriture.

Dans le cas de l’addiction, le cerveau reptilien établit un lien entre la substance et un état de bien-être.

Cet état de bien-être peut être une sensation de plaisir, ou le soulagement d’une angoisse, l’impression de pouvoir enfin lâcher prise et être libre, même si c’est pour un court instant.

Comme la base de chaque association est la survie, les addictions sont extrêmement puissantes car il n’est pas possible de contourner une association par la volonté.

 

De nombreux addicts décrivent leurs addictions comme cela :

Lorsque le moment de consommer arrive, cela devient irrépressible. Même si je me suis dit le matin en me levant « aujourd’hui c’est fini, je ne fume plus », cela n’a plus aucune importance. C’est comme si je devenais quelqu’un d’autre. Mon cerveau ne réfléchit plus, il me dit simplement de consommer maintenant. Et je peux faire des kilomètres juste pour aller acheter un paquet de cigarette alors qu’il fait nuit et que je pourrais rester tranquillement chez moi.

 

 

Valable pour le tabac, le chocolat, le cannabis, l’alcool, le crack, etc…

Est-ce que cela vous rappelle certaines compulsions ?

Tant que le cerveau reptilien est soumis aux associations qu’il a appris vis-à-vis de sa drogue, il continuera à rechercher régulièrement sa source de plaisir, même si ce comportement est très contraignant et destructeur.

Un autre aspect important de cette explication est que le cerveau reptilien réfléchit uniquement au présent. Les notions de passé et d’avenir n’ont que peu d’importance pour lui. Ce qui l’intéresse c’est : comment survivre dans l’immédiat. C’est pour cette raison que les associations sont des apprentissages fixes : ils changent peu dans le temps, car le cerveau reptilien ne les remet plus en cause.

 

Exemple : enfant, vous touchez une plaque chauffante avec votre main et vous vous brûlez. Le cerveau reptilien associe : plaque chauffante = danger, et plus jamais vous ne poserez la main sur une plaque chauffante volontairement (sauf si vous avez un trouble, of course !).

 

Ainsi, le cerveau reptilien voit l’addiction comme une source de plaisir et de bien-être immédiat. Peu importe si cela crée des dégâts à long terme, car l’association est trop forte.

Culpabilité et addiction

Quelques mots sur la notion de culpabilité vis-à-vis de l'addiction. Vous ne devriez pas vous sentir coupable ne pas y être encore arrivé. D'une part, cela ne vous aidera pas, d'autre part, c'est seulement que vous n'avez pas encore trouvé la bonne méthode.
Partez d'une motivation positive sera beaucoup plus aidant.

Guérir d’une addiction avec la thérapie

 

Il existe de nombreuses méthodes pour sortir de l’addiction avec plus ou moins de succès.

Les bienfaits de mon protocole #maviesanstabac

Parce que ne l’oubliez pas :

 

Arrêter de fumer vous procure une foule de bienfaits !

Vous vous libérez du temps. Faites le calcul : si une pause cigarette vous prend 8 minutes, pour 15 cigarettes par jour, vous consacrez 2 heures de votre temps journalier !

Vous faites des économies considérables. Faites le calcul : à raison d’un paquet par jour, vous gagnez d’un coup plus de 200 euros par mois. Et vu que le prix du tabac augmente sans cesse, vous évitez aussi de dépenser encore et encore davantage pour satisfaire votre dépendance au tabac.

Réussir est un « challenge ». Plutôt que d’essayer pour la énième fois d’arrêter de fumer et d’être accablé par un sentiment d’échec, vous êtes enfin fier de vous. Et je pourrais vous donner une foule d’exemples vécus : souvent l’arrêt du tabac enclenche toute une dynamique positive : énergie, optimisme, projets, etc…

Votre condition physique s’améliore. C’est stupéfiant la vitesse à laquelle la tendance s’inverse. Très rapidement vous retrouvez un meilleur souffle (par exemple en montant les escaliers).

Vous gagnez des années d’espérance de vie. Les scientifiques ont établi qu’une cigarette fumée, c’est quinze minutes de vie en moins. Du coup, quand on s’arrête de fumer, on gagne d’un deux, trois ans, dix ans de vie.

 

Vous limitez les risques de vieillir avec des maladies qui vous gâchent la vie comme le cancer…

 

Profitez pleinement de la vie !

… Et quel plaisir de voir revenir des sensations oubliées !

  1. Vous prenez une respiration profonde et vos poumons et votre gorge sont dégagés, vous vous sentez bien.
  2. Vous avez un meilleur teint et vous semblez plus jeune.
  3. Vous sentez la bonne odeur de café, car vous avez retrouvé le goût et l’odorat.
  4. Vous retrouvez une vigueur sexuelle même un appétit que votre organisme avait perdu.
  5. Vous avez plus d’argent à dépenser pour des choses qui vous font vraiment plaisir à vous et à vos proches.
  6. Vous êtes enfin libre d’aller où vous voulez sans plus aucune contrainte liée à la cigarette.
  7. Vous avez le sentiment et la fierté de contrôler votre vie.
  8. Vous êtes heureux de vivre en société, sans imposer vos mauvaises odeurs (haleine et vêtements). Comme tous les fumeurs, vous ne vous rendiez pas compte de cet aspect désagréable pour votre entourage.
  9. Vous n’avez plus cette contrainte de vous arrêter dans les débits de tabac chaque jour ou presque.
  10. Vous ne vous sentez plus pestiféré « comme un drogué », vous ne devez plus sortir par tous les temps, pour satisfaire votre manque.

 

Mais plutôt que toutes ces belles promesses, je vous propose d’aller voir mon blog pour les témoignages de mes clients : ils parlent eux-mêmes de leur expérience 

Addictions : suite

Bien sûr le suivi médical est primordial dans cette situation. Le sevrage chimique va permettre de compenser la perte d’une association à un produit toxique (ex : héroïne) avec un autre produit moins toxique (ex : méthadone) et ainsi de suite afin de faciliter à terme l’arrêt de la consommation. 

Les cures de désintoxication imposent souvent la non-consommation absolue.

 

Malheureusement, le cerveau reptilien est capable d’attendre et de « cacher » la compulsion pendant un certain temps, selon les conditions extérieures.

 

C’est l’exemple du fumeur qui prend l’avion et sait qu’il ne peut pas fumer pendant 10h de trajet. Pendant plusieurs heures, il ne ressentira pas ou peu le manque car il sait qu’il ne peut absolument pas fumer. Mais à la sortie de l’avion, la première chose qu’il fera lorsqu’il le pourra sera d’allumer une cigarette.

 

 

C’est l’exemple malheureux du buveur qui, en cure de désintox, réussit à ne pas boire pendant 30 jours, et qui, une fois rentré chez lui, sent l’envie de boire « juste une bière » revenir furieusement, et qui rechute.

Contrebalancer l’addiction

Heureusement, il existe des méthodes permettant de surpasser l’addiction à l’aide d’autres sentiments plus forts encore. Les Alcooliques Anonymes, par exemple, utilisent des sentiments positifs forts pour combattre l’addiction, avec le succès qu’on leur connait.

 

D’autres méthodes « spirituelles » semblent avoir une bonne efficacité, en stimulant des émotions comme la dévotion, la gratitude, l’amour, etc…

 

En effet, on peut combattre une association par une autre : si j’arrête de prendre de la drogue, je me rapproche de mes valeurs spirituelles qui sont très importantes pour moi (ex : se sentir connecté à un sentiment d’amour absolue).

 

On parle parfois de « reconditionnement ».

 

 

Cette stratégie est relativement efficace et je la recommande.

Éliminer les associations à la source

Une autre stratégie est de pouvoir éliminer directement la source des associations incorrectes.

 

Je connais une seule technique efficace pour éliminer les associations et elle est bien sûr extrêmement utile pour guérir les addictions. Cette technique n’est pas basée sur l’hypnose, la psychologie, ou d’autres techniques de conditionnement.

 

Elle utilise certains moyens corporels de réguler le système nerveux et d’accéder au cerveau reptilien afin de défaire l’association entre la substance et les réactions émotionnelles conditionnées.

 

Cette technique est extrêmement simple et rapide, et permet d’éliminer les symptômes de manque (craving) et compulsions. Elle fonctionne sur tout type de substances.

 

J’utilise bien sûr cette technique dans mes séances individuelles.

 

Gestion des émotions et traitement des traumatismes

En parallèle des stratégies ci-dessus, il est essentiel de travailler sur le rôle plus large de l’addiction dans la vie de la personne, et notamment sur ses stratégies de gestion des émotions.

 

Les émotions plus complexes sont gérées par le cerveau limbique, plus évolué que le reptilien, qui comprend les notions de passé et de futur, et dont la priorité est la connexion (aux autres et à soi).

 

Nous gérons tous nos émotions de manières différentes. Parfois, avec des mécanismes intérieurs : prendre du recul, rationaliser, comparer, faire appel à des ressources positives, en cherchant à gagner du contrôle, évoquer des sentiments positifs, par résilience, etc… ;

 

Parfois avec des mécanismes extérieurs : se faire réconforter, de divertir, utiliser des stimulants ou des anesthésiants, en écoutant l’avis de quelqu’un d’autre, etc… ;

 

Tout cet équilibre dépend des émotions que l’on doit gérer et des ressources à notre disposition.

 

Dans le cas des addictions, il est courant de trouver des histoires de vie compliquées, contenant divers traumatismes. Cela génère plus d’émotions négatives comme anxiété, sentiment d’abandon, mauvaise estime de soi, besoin de faire certaines choses, etc…

 

Il est donc important, soit d’installer de meilleures capacités de gestion des émotions, soit de traiter les traumatismes principaux de la vie de la personne. Ou mieux : faire les deux.

 

Une thérapie des addictions efficace utilisera donc à la fois des stratégies pour contrer les associations du cerveau reptilien et les difficultés émotionnelles du cerveau limbique.

Avez-vous besoin d’aide ?

Si vous souhaitez entreprendre une thérapie pour vous libérer de vos addictions, vous pouvez prendre rdv sur Doctolib, choisissez consultation complexe, https://www.doctolib.fr/hypnotherapeute/paris/liliane-pardo

 

Je vous précise que plusieurs séances sont nécessaires pour obtenir un effet complet et durable. Il peut y avoir besoin de traiter un certain nombre d’associations et de racines émotionnelles. Ce travail est compliqué et est extrêmement libérateur. C’est une vraie démarche d’évolution personnelle.

 

 

Les séances peuvent avoir lieu par Skype ou dans mon cabinet.

Et si l’hypnose ne marche pas sur moi ?

Vos chances de succès sont celles de n’importe quel autre de mes patients : 97,2%.

 

Et si vous étiez parmi les 2,8% pour qui ma méthode n’était pas totalement concluante, je vous proposerais une séance de rattrapage. C’est normal, quand vous entrez dans mon cabinet, vous me faites confiance et dès lors, votre réussite totale devient mon objectif premier.

Est-ce que cela va me coûter cher ?

350 € : c’est le prix, pour une séance complète de sevrage.

 

Par rapport à toutes les économies que vous réaliserez une fois devenu « Non-fumeur », vous serez largement bénéficiaire. Avez-vous déjà réfléchi de ce que vous ferez de tout cet argent économisé ? Sans parler de tous les autres bénéfices que vous retrouverez au niveau de votre santé et de votre vie.

Que va-t-il se passer, après ?

Une fois que vous avez fini la séance d’Hypnose/PNL/EFT en général, il y a 2 cas possibles :

1) Vous ne pensez plus jamais à la cigarette. C’est comme si vous n’aviez jamais fumé de votre vie ! Un peu comme par magie.

2) Vous y pensez de temps en temps, au début… La séance se passe très bien, vous arrêtez de fumer, puis de temps en temps, vous avez juste une petite pensée, comme un léger flash qui vous traverse rapidement l’esprit, de façon fugace. Cette pensée vient puis s’efface toute seule, comme elle est apparue. Vous n’avez pas besoin de la combattre. Ne vous inquiétez surtout pas, ces petits flashes disparaissent naturellement au cours du temps.

3) Vous avez une petite période transitoire. Vous faites la séance, vous arrêtez de fumer puis vous traversez une période d’adaptation. Pendant quelques jours, vous pouvez encore avoir des envies de cigarette. Rassurez-vous, il s’agit d’une période de transition… Le temps que les nouvelles habitudes se mettent en place au niveau des comportements et au niveau de votre inconscient.

… Dans les 3 cas, je vous l’ai dit, et je le répète : vous pouvez me contacter.

Mon accompagnement ne s’arrête pas une fois que vous quittez mon cabinet.

Alors, l’heure est venue de prendre la décision la plus importante de votre vie mais aussi la plus sage : Contactez-moi, pour réserver votre place !

« A très bientôt, pour le début de votre nouvelle vie. Une vie que vous aurez décidée, beaucoup plus libre et beaucoup plus saine. Je vous garantis de votre réussite ! »

Tous les gens sensés peuvent confirmer : dans la vie, rien n’arrive jamais par hasard. Si vous êtes tombé sur cette page, si vous l’avez lue jusqu’au bout, ce n’est pas une coïncidence. Vous avez appris ce qu’est ma méthode de sevrage tabagique, l’Hypnose/PNL/EFT, vous savez qu’elle peut enfin vous arracher à une dépendance qui vous dévore de jour en jour. Vous êtes enfin dans la bonne dynamique. Maintenant c’est à vous d’agir ! · ,

Écrire commentaire

Commentaires: 0